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Dans les réserves du Kunsthistorisches Museum de Vienne, je tiens deux lézards moulés dans le bronze. 

Ces formes animales, peut-être moulées sur nature, peut-être recomposées, résument mon approche : une attention au trouble dans la matière, à ce qui a été réécrit, altéré, compilé.

Je poursuis ma recherche là où la transmission s'efface : dans les interstices, les gestes perdus, les silences des manuels techniques.

Mon carnet Insculpture documente cette démarche à la frontière entre l’histoire de l’art, la reconstruction historique et la pratique plastique.